Contexte

Sujet: Contexte Ven 15 Oct 2010 - 20:22

♠ Contexte Depraved Heart ♠

Where are you ? A Londres, vous trouvez toutes sortes de personnes, l’aristocratie financière, ceux qui ne quittent presque jamais leur costume deux pièce, ceux qui ne pensent qu’à amasser assez d’argent pour montrer leur supériorité à tous, ceux qui dénigrent les gens n’ayant aucun argent, ceux qui font tout pour avoir les choses qu’ils n’ont pas, il y a aussi, la bourgeoisie industrielle et la bourgeoisie commerçante, eux, ils sont à peu près comme les aristocrate, se croyant tout permis, ils son pareils à des hypocrites, avide d’argent et de biens. Et enfin, la petite bourgeoisie et la paysannerie, pas de même classe sociale, puisque la petite bourgeoisie possède quelques biens, tandis que la paysannerie, travaille pour pouvoir se payer à manger, la petite bourgeoisie gagnent leur vie assez bien, possédant des terrains ou deux ou trois petites entreprises, ils vivent entre les deux mondes, riche et pauvre, la paysannerie, travaillent pour eux, ils ne pensent qu’à pouvoir nourrir leur famille, nombreuses soit-il, ils travaillent toute leur sueur et parfois en meurent…voilà ce qui composent Londres…
Puis les jeunes, les adolescents, ceux qui ne pensent qu’à croquer la vie à pleine dent, ceux qui ne font que dépenser l’argent, jetant tout par la fenêtre, ceux qui finalement ne sont pas aussi loin que les adultes…Et vous, vous faites partie de quel sorte de personne ?

Flash-back

Vous voyez, il y à de cela 10 ans et 5 mois, une école fut construite, par des personnes faisant partie de toute ses catégories, aristocratie financière, bourgeoisie industrielle, bourgeoisie commerçante, petite bourgeoisie et les paysans. Ils la bâtirent avec le plus grand respect, voulant faire d’elle la seule et unique école d’art, qui puissent exister au monde. Et le rêve de tous, fut réalité, car cette école d’art, connu célébrité pendant 7 ans, respect et jalousie. Nombreux furent sur le qui-vive, quand les fondateurs décédèrent, un par un, voulant à tout prix être le prochain héritier(ère).
Mais le dernier qui resta, fut le paysan, mais pas pour longtemps, lui il ne resta qu'un an, ou il fit tous ce qu’il devait pour que l’école ne tombe jamais entre les mains, de quelqu’un d’avide, d’hypocrite et de sans scrupules, il ferma l’école et donna à chacun des héritiers, son héritier, comme celui des autres, une partie des actions de l’école, comme dernier cadeau de leur part à tous.

Aujourd’hui, maintenant que les héritiers ont acquis l’âge de recevoir leur part, l’école peut ré-ouvrir, et en deux ans, elle fut reconstruite et remise sur pied.
Le 01 novembre 2010, ce fut l’ouverture, la rentrée pour tout le monde. Et de nombreuses inscriptions, parvinrent aux nouveaux héritiers.
Les héritiers, n’ayant à la pensés que l’école ne leur appartient qu’à eux, eurent l’idée diabolique d’éjecter tous les autres, surtout le paysan. Mais ils ne savent pas que le paysan à tout pouvoir, car la moitié des actions lui appartient.
Aujourd’hui, l’école grouille d’élèves, l’école est à son apogée, et les héritiers recherchent toujours le paysan, ou sans lui, le testament ne pourra être ouvert.
Tous attendent impatiemment sa venue, on se faisant des coups-bas, baignant dans des choses louches et illégales.
Le sort de l’école, ne compte que par la venue du paysan, comme ils aiment si bien l’appeler.
Et puis, qui nous dit qu’il n’est pas déjà là et qu’il est un des élèves, ou encore un des professeurs, ou encore un des agents de sécurité, agents de services, il peut se trouver n’importe où, à n’importe quel moment…les autres n’ont qu’à bien le cherché.

Sujet: Re: Contexte Jeu 4 Nov 2010 - 2:12

Je suis la luxure, je ne vous veux que du bien et du mal aussi, mais vous saurez rien, vous me faite totalement confiance.
Je suis celle qui vous guide vers le sexe, celle qui vous emmène au paradis, celle qui vous prouve que le sexe est parfois si bien utile, que vous ne verrez plus la fin, vous êtes totalement immergé de sexe.
Vous n'avez plus que cela en bouche, en tête, partout ou vous allez...restez près de moi, ne vous en allez pas, vous qui êtes enfin arriver à la fin.
Pauvre chou, vous voilà remplit à bloc...